À propos de l’Arnica montana
S’inspirant de la tradition, et fort de ses 85 ans d’expertise, Boiron a développé la gamme Arnicare à base notamment d’Arnica montana, une plante des régions montagneuses de la famille des marguerites dont les propriétés thérapeutiques sont connues depuis des siècles.
La gamme Arnicare des Laboratoires Boiron est fabriquée à partir de la teinture mère homéopathique produite à partir de plantes fraîches, notamment de l’Arnica montana. Elles sont récoltées à la main et de façon responsable par des botanistes spécialistes et des récolteurs qualifiés.
Cette méthode d’élaboration à partir de plantes fraîches, entières et pleinement fleuries permet ainsi de conserver la majorité des constituants et des principes actifs de l’arnica montana.
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La récolte de l'arnica
La récolte de l'arnica
Cueillir l’arnica nécessite savoir-faire et expérience. Mais l’espèce est menacée par l’activité humaine.
Pour la préserver, tous les acteurs de la filière ont signé une convention exemplaire.
Les bonnes pratiques Boiron
Pour préserver l’arnica, une plante sauvage menacée de disparition, les Laboratoires Boiron ont mis en place des bonnes pratiques de cueillette à travers un cahier des charges spécifique.
Un engagement de chaque instant pour Boiron
Chaque année, entre le 1er juin et le 20 juillet environ, une vingtaine de récoltants professionnels ramassent l’arnica pour les laboratoires Boiron. Ils cueillent la plante entière avec un bout de racine, dans les prairies d’altitude de six régions montagneuses : les Vosges, les Alpes, le Massif central, l’Ardèche, les Pyrénées et l’Aveyron.
Pour préserver les plantes sauvages, favoriser la biodiversité et garantir un Arnica montana d’excellente qualité, les laboratoires Boiron ont mis en place un cahier des charges spécifique. Il impose des conditions strictes de récolte, telles que :
Seul 30% du potentiel d’un site de cueillette doit être récolté pour assurer la pérennité de l’espèce.
Les végétaux doivent être triés de toutes autres espèces végétales et débarrassées de tout autre élément étranger à la plante commandée (terre, débris de bois, cailloux…).
Les espèces botaniques doivent être récoltées ou cultivées hors des zones industrialisées, urbaines, de cultures intensives, traditionnelles ou des routes afin d’éviter au maximum les pollutions.
L’état sanitaire des végétaux doit également être parfait (attaques de pucerons, maladies, rouille et oïdium…).
Les végétaux doivent être récoltés et livrés immédiatement après la récolte (dans les 48h maximum), dans des conditionnements aérés et par camion frigorifique.
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